tag:blogger.com,1999:blog-28539307.post7690966511834483939..comments2024-01-25T18:51:18.023+01:00Comments on Hugin & Munin: L'énigme des Blancs-ManteauxUnknownnoreply@blogger.comBlogger11125tag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-84841342773291467922011-02-20T20:55:23.212+01:002011-02-20T20:55:23.212+01:00Merci pour avoir cité Lindsey Davis, jusqu'à m...Merci pour avoir cité Lindsey Davis, jusqu'à maintenant je lisais les romans de Steven Saylor, mais je vais pouvoir varier les plaisirs.<br /><br />Pour le reste, les fanboys des perruques poudrées sont comme tous les FBDM : incorrigibles.Cédric Ferrandhttps://www.blogger.com/profile/14707547466143862766noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-88585852365605520242011-02-20T20:31:41.785+01:002011-02-20T20:31:41.785+01:00Tu as clairement pointé les défauts de ces romans ...Tu as clairement pointé les défauts de ces romans et, tout « fondu » de XVIIIe siècle que je sois, je serai bien le dernier à les nier.<br /><br />Je n’enfoncerai pas beaucoup plus le clou, déjà bien enfoncé, du « produit calibré ». L’enquêteur, plutôt beau gosse, qui fricote aussi bien avec de nobles demoiselles qu’avec des filles publiques, enfant illégitime qui prend grand-soin de sa propre progéniture illégitime, homme de l’ombre qui a l’oreille du roi (XV puis XVI). Son compère policier, efficace et dévoué, porteur d’idées très républicaines avant l’heure. Le bourreau, dont on nous trace le portrait d’une sorte de médecin-légiste humaniste, en oubliant que la torture à vocation judiciaire faisait partie, de manière certes moins développée que précédemment, de son fonds de commerce. Etc.<br /><br />Je confirmerai le côté lourdement appuyé de la leçon d’histoire, de politique et de vie quotidienne que peuvent constituer ces romans. C’est le fléau d’une grande majorité de romans historiques, et le fléau de la quasi-totalité des « polars historiques » : leurs auteurs ne peuvent pas s’empêcher de tout étaler au fil des pages, sous la forme de descriptions qui, parfois, tirent à la ligne, ou de dialogues totalement artificiels entre des personnages « qui savent » (ce sont les porte-parole de l’auteur) et des personnages « qui en savent pas » (ce sont les oreilles du lecteur).<br />En outre, comme beaucoup de « polars historiques », ces polars dix-huitièmistes sont écrits par quelqu’un qui n’est pas un vrai auteur de polar, et qui n’a donc pas le talent d’écrire une intrigue solide, qui prend aux tripes, qui rend le lecteur impatient. On est, par exemple, à des lieues du roman de David Liss <i>Une conspiration de papier</i>.<br /><br />Pour ce qui est de la gastronomie, je reconnais sans détour qu’elle fait partie des passages que je saute, dans ces romans. Si je veux des recettes de l’époque, j’ai quelques sources spécialisées sur le sujet, je n’ai pas franchement besoin qu’on me les redonne en détails deux ou trois fois par roman. C’est le genre de pratique qui me lasse très rapidement. Qui plus est, ça n’a rien d’original : pour ne citer que lui, Manuel Vázquez Montalbán avait lancé son détective privé gastronome, Pepe Carvalho, au début des années 1970.<br /><br />Alors, pourquoi est-ce que je m’accroche tout de même à cette série de romans ? Par faiblesse, certainement. Parce que, franchement, je n’ai pas trouvé que la série s’améliorait au fil des sorties. Je ne dirais pas non plus, pourtant, qu’elle a empiré. Non, plus simplement, elle est assez inégale. Jamais très bonne, jamais franchement mauvaise. Mais, j’assume mon penchant dix-huitiémiste (comme Thomas B., un peu plus haut ; salut, Thomas!) qui me fait acheter les romans de cette série au fur et à mesure qu’ils paraissent. Et le fait que je sois, au fil de ces lectures, devenu familier de l’univers peint par Parot et de sa galerie de personnages me conduit probablement à de l’indulgence.<br /><br />Je me prends parfois à rêver de polars qui seraient au XVIIIe siècle ce que les polars de Lindsey Davis sont à la Rome des Flaviens : du polar hard-boiled et cynique, en tricorne.Monsieur de Chttps://www.blogger.com/profile/00950205606747254517noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-63993642736070407662011-02-06T14:32:16.500+01:002011-02-06T14:32:16.500+01:00Une fois de plus (parce que c'est fréquent fin...Une fois de plus (parce que c'est fréquent finalement) je comprends parfaitement tes réserves, voire, je les approuve, mais j'avoue qu'à la lecture, les défauts que tu soulignes ne m'avaient pas frappé. Disons, pas tant que ça. J'ai surtout apprécié l'immersion dans ce Paris du XVIII ème siècle. Bon, pour tout dire, j'ai dû en lire deux ou trois et ne pas éprouvé l'envie de poursuivre (pourtant j'en ai d'autres à lire). C'est sans doute un signe.aruthahttps://www.blogger.com/profile/16577500767700714806noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-66943073904613764442011-02-06T13:49:00.282+01:002011-02-06T13:49:00.282+01:00Les perruques poudrées m'ont tout de suite fai...Les perruques poudrées m'ont tout de suite fait penser à toi. Je vais en rester là, mais je comprends que la série ait ses aficionados.Cédric Ferrandhttps://www.blogger.com/profile/14707547466143862766noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-52153021634003567442011-02-06T01:25:20.180+01:002011-02-06T01:25:20.180+01:00C'était Thomas B. au dessus :)C'était Thomas B. au dessus :)Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-32119180972912050442011-02-06T01:24:32.355+01:002011-02-06T01:24:32.355+01:00C'est clair qu'il faut être fan du XVIIIe ...C'est clair qu'il faut être fan du XVIIIe pour apprécier. Je ne pense pas que les romans s'améliorent avec le temps, mais le perso de Nicolas Le Floch devient un peu moins fade. Il a encore un méga balais dans le cul mais on le sent vieillir un peu, c'est cool. En bon fanboy de merdre, j'ai aussi tous les films et bon c'est pas glorieux. Mais comme la seule vue de mecs en tricorne qui défouraillent me remplis d'aise, je suis pas difficile :)Thomas B.https://www.blogger.com/profile/16875822247200088247noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-78088163733535211832011-02-05T09:00:18.656+01:002011-02-05T09:00:18.656+01:00Voila qui ne fait pas envie.Voila qui ne fait pas envie.Efellehttp://efelle.canalblog.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-90911313710221378792011-02-04T10:05:44.210+01:002011-02-04T10:05:44.210+01:00Voilà qui est assez clair !Voilà qui est assez clair !BiblioMan(u)https://www.blogger.com/profile/17174213295213170153noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-12013770235142568682011-02-03T20:39:04.012+01:002011-02-03T20:39:04.012+01:00L'adaptation télé souffre surtout d'acteur...L'adaptation télé souffre surtout d'acteurs en grande partie incompétents.Aliashttps://www.blogger.com/profile/05524695958933499524noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-53199724209552934142011-02-03T19:46:10.756+01:002011-02-03T19:46:10.756+01:00Excellente critique !
Cela devient vite indigeste...Excellente critique ! <br />Cela devient vite indigeste et sent le produit "calibré"...<br />L'adaptation télé est de la même eau...Totirakaponhttps://www.blogger.com/profile/16280714383775937911noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-5098418701559054862011-02-03T17:02:49.788+01:002011-02-03T17:02:49.788+01:00Eh ben tout pareil mon brave monsieur. Je ne suis ...Eh ben tout pareil mon brave monsieur. Je ne suis pas allé plus loin que ce premier tome. Il est même tout près de rejoindre mon carton de poches à vendre. Mais il a tout de même échappé à la dernière purge. La prochaine lui sera-t-elle fatale ?Danilohttps://www.blogger.com/profile/09960107431884318918noreply@blogger.com