tag:blogger.com,1999:blog-28539307.post8793480121916142155..comments2024-01-25T18:51:18.023+01:00Comments on Hugin & Munin: Les années club (2ème partie)Unknownnoreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-28540654982789825982006-12-15T10:21:00.000+01:002006-12-15T10:21:00.000+01:00J'ai pas mal de souvenirs, en effet, mais un bille...J'ai pas mal de souvenirs, en effet, mais un billet "mes années club à moi " ferait double emploi avec le tien. Mes anecdotes sont très bien comme cela, en contrepoint des tiennes. :)Muninhttps://www.blogger.com/profile/17747361560879850807noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-10775137068294739782006-12-14T23:16:00.000+01:002006-12-14T23:16:00.000+01:00C'est savoureux comme souvenirs.
Pour les noms de...C'est savoureux comme souvenirs.<br /><br />Pour les noms de club, c'est une maladie qui touchait toutes les régions de France. À Chambéry, j'ai connu un excellent club qui s'appelait "Les Nouveaux Saigneurs". Le genre de nom d'association qui t'aide bien à demander une subvention à Monsieur le Maire.<br /><br />Faudrait que tu écrives tes années club à toi, tu as visiblement de la matière.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-28539307.post-6557692404774431662006-12-14T11:40:00.000+01:002006-12-14T11:40:00.000+01:00Ah, ça recoupe aussi pas mal de mes souvenirs. Moi...Ah, ça recoupe aussi pas mal de mes souvenirs. Moi, mes années club, je les ai passées au Théâtre Bompard, à Marseille, et le nom du club ne s'invente pas : <i>Les Princes Hyper-Bourrés</i>. Si la référence à Conan est sympa, il a pas été facile de convaincre mes parents que fréquenter ces gens-là était sans risque. Je ne sais pas, d'ailleurs, comment ils ont fait pour persuader la boulangère de les laisser coller sur sa porte l'affiche qui m'avait fait venir à eux. Pour atteindre la salle de jeu, il fallait passer derrière la scène où des assos de théâtre répétaient, pour arriver dans une salle meublée de tables et de chaises dépareillées. Mes premières séances furent d'abord des séances de création de personnage. Je devais y passer l'après-midi pour pouvoir rejoindre le groupe la semaine suivante, mais chaque fois le jeu était décommandé et remplacé par un autre.<br /><br />En guise de dépucelage, j'ai eu droit à une création de personange pour Légendes Celtiques (pas la version "Premières", s'il vous plait : non, le 4 pages où l'on doit calculer sa distance de saut en longueur, avec barda et sans barda, face au vent et dos au vent). Après, ce fut un jeu de super-héros maison où il fallait surtout dessiner son costume, à partir duquel le MJ déterminait la personnalité et les pouvoirs. Heureusement que la partie n'a jamais eu lieu, avec le dessin que j'avais fait j'aurais sûrement incarné GruyèreMan, l'homme en fromage fondu. Après, il y a un Investigateur - que j'ai eu la joie de faire vivre 2h de jeu, avant sa mort horrible. Puis un clerc humain qui m'a servi à faire des Cure Light au reste du groupe le temps de faire mes classes à AD&D (1 an, quand même), le seul jeu qui restait programmé d'une semaine à l'autre, les autres étant trop souvent victimes de l'enthousiasme cyclothymique du reste des MJ putatifs).<br /><br />Tout a changé quand le président du club, Sigfried, a découvert les filles. Il était le seul à avoir la clé, et venait de plus en plus tard pour repartir de plus en plus tôt. Finalement, nous avons ouvert un autre club aux 5 Avenues, les <i>Kobolds Hyper-Furieux</i> (me semble-t-il). Mais ce n'était déjà plus tout à fait pareil, il n'y avait plus que deux tables, on variait les jeux, les MJ préparaient les scénarios, les joueurs s'investissaient dans le rôle et l'histoire. Il y avait des boulets, quand même, et tous les scénarios n'étaient pas réussis, mais cela n'avait plus rien à voir avec les délires approximatifs des années précédentes...Muninhttps://www.blogger.com/profile/17747361560879850807noreply@blogger.com