ENFIN ! Stephen Kenson attend le 3ème volume de sa trilogie pour faire décoller sa saga et pondre un roman vaguement intéressant. Cet opus est bien au-dessus des deux précédents puisqu'il est moyen là où les deux premiers étaient à peine minables. Le run présenté n'est pas ultime, loin de là, mais il est enfin digne de Shadowrun. Comme toujours, la couverture spoile le lecteur, sinon c'est pas marrant. Et Kenson met enfin de l'amour dans ses romans : l'héroïne faitdes guili-guilis (comme c'est chaud comme passage !) à un autre personnage et l'embrasse même. Il ne faut pas s'attendre à la moindre parcelle d'érotisme, ça doit rester lisible par des adolescents, mais ça fait plaisir de voir un peu de sentiment (même à l'eau de rose) dans cette saga. Ma grosse déception c'est que l'histoire d'amour est avec l'elfe du groupe et non l'ork, ça donne un côté glamour que je trouve pas très compatible avec l'esprit Shadowrun. Côté suspense, c'est cousu de fil blanc tout du long et possède un final grand-guignolesque à souhait (qui inclut un esprit nommé Morningstar (celui de la couverture) et qui fait allusion à des Seraphims). À noter un tout petit passage de l'intrigue par Montréal, ce qui explique ma clémence sur ce dernier volume.
ENFIN ! Stephen Kenson attend le 3ème volume de sa trilogie pour faire décoller sa saga et pondre un roman vaguement intéressant. Cet opus est bien au-dessus des deux précédents puisqu'il est moyen là où les deux premiers étaient à peine minables. Le run présenté n'est pas ultime, loin de là, mais il est enfin digne de Shadowrun. Comme toujours, la couverture spoile le lecteur, sinon c'est pas marrant. Et Kenson met enfin de l'amour dans ses romans : l'héroïne faitdes guili-guilis (comme c'est chaud comme passage !) à un autre personnage et l'embrasse même. Il ne faut pas s'attendre à la moindre parcelle d'érotisme, ça doit rester lisible par des adolescents, mais ça fait plaisir de voir un peu de sentiment (même à l'eau de rose) dans cette saga. Ma grosse déception c'est que l'histoire d'amour est avec l'elfe du groupe et non l'ork, ça donne un côté glamour que je trouve pas très compatible avec l'esprit Shadowrun. Côté suspense, c'est cousu de fil blanc tout du long et possède un final grand-guignolesque à souhait (qui inclut un esprit nommé Morningstar (celui de la couverture) et qui fait allusion à des Seraphims). À noter un tout petit passage de l'intrigue par Montréal, ce qui explique ma clémence sur ce dernier volume.
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