Quoi de plus sain et de plus naturel que de rire avec un film de zombies ? On a rien vu de plus drôle depuis les blagues sur les bébés morts. Alors, Zombieland est un film popcorn, une comédie sans conséquence sur un geek qui tente de survivre dans un monde rempli de zombies. Comme c'est un garçon pas réellement taillé pour le combat, l'antihéros qu'il est s'est doté d'une série de règles de sécurité pour ne pas finir en pâté pour mangeurs de cervoooo. Et le film se fait un malin plaisir de mettre en scène ces principes de survie, ce qui est l'occasion de rire des situations cocasses dans laquelle le héros se retrouve.
Bien évidemment, pour avoir un bon duo comique, il faut jouer sur les extrêmes. Laurel a besoin d'Hardy. L'auguste du clown blanc. Igor de Grichka. Alors au geek, on adjoint une sorte de beauf bodybuildé qui ne vit que pour son Hummer et qui manie la batte de baseball avec virtuosité. Cette association impensable va fonctionner jusqu'à ce que les deux protagonistes tombent sur des créatures finalement bien plus terribles que les zombies.
Impossible de ne pas penser à Shaun of the dead quand on regarde Zombieland. Mais si le film anglais était bourré d'humour et de références sociales (aaah, la critique sociale dans le film de zombie. Je radote), force est de constater que le même travail à l'américaine est moins transgressif et jouissif. On ne retrouve pas l'humour typiquement british (le pub comme refuge ultime) mais des situations plus classiques. Ça reste ludique, mais ce n'est pas féroce. Étrangement, le film ne déborde pas de zombies.
Bref, un film qui fait oublier pendant 1h30 que le monde est foutu (si, c'est le calendrier maya qui le dit). Et sans une seule blague à base de pénis, c'est assez rare de nos jours. Le film aurait pu rester moyen sans l'intervention de Bill Murray qui vient sortir le film de l'ordinarité dans un caméo du feu de dieu.
Allez, cette fois la bande-annonce est de rigueur, c'est pas comme s'il y avait un risque de spoiler l'intrigue, vu qu'il n'y en a pas la queue d'une.
Bien évidemment, pour avoir un bon duo comique, il faut jouer sur les extrêmes. Laurel a besoin d'Hardy. L'auguste du clown blanc. Igor de Grichka. Alors au geek, on adjoint une sorte de beauf bodybuildé qui ne vit que pour son Hummer et qui manie la batte de baseball avec virtuosité. Cette association impensable va fonctionner jusqu'à ce que les deux protagonistes tombent sur des créatures finalement bien plus terribles que les zombies.
Impossible de ne pas penser à Shaun of the dead quand on regarde Zombieland. Mais si le film anglais était bourré d'humour et de références sociales (aaah, la critique sociale dans le film de zombie. Je radote), force est de constater que le même travail à l'américaine est moins transgressif et jouissif. On ne retrouve pas l'humour typiquement british (le pub comme refuge ultime) mais des situations plus classiques. Ça reste ludique, mais ce n'est pas féroce. Étrangement, le film ne déborde pas de zombies.
Bref, un film qui fait oublier pendant 1h30 que le monde est foutu (si, c'est le calendrier maya qui le dit). Et sans une seule blague à base de pénis, c'est assez rare de nos jours. Le film aurait pu rester moyen sans l'intervention de Bill Murray qui vient sortir le film de l'ordinarité dans un caméo du feu de dieu.
Allez, cette fois la bande-annonce est de rigueur, c'est pas comme s'il y avait un risque de spoiler l'intrigue, vu qu'il n'y en a pas la queue d'une.
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