Et voilà, c'est fini. Deux ans après avoir chroniqué le tome 1, découvert grâce à Gromovar, je referme le tome 6, composé de 7 épisode, au terme d'une relecture de l'ensemble (et de deux lectures successives de ce dernier tome)...
Si vous connaissez la série, je ne vous ferai pas l'affront de dévoiler quoi que ce soit sur la façon dont elle finit. Et si vous ne connaissez pas, je vous renvoie à mon précédent billet, qui lui-même renvoie à ses sources.
Un pitch rapide quand même, pour ceux qui n'aiment pas cliquer : suite à l'assassinat de leur père par des rôdeurs, les trois enfants Locke quittent la Californie pour venir habiter, avec leur mère et leur oncle, dans la vieille demeure familiale : un manoir vieux de plusieurs siècles, "Keyhouse", situé sur une petite île du Massachussets appelée Lovecraft.
Les 6 tomes de la série se déroulent tout au long de l'année scolaire : cela commence, comme avec Harry Potter, avec les derniers jours de vacances, pour se finir après le bal de fin d'année. Pendant cette année, les enfants Locke vont découvrir pourquoi la maison s'appelle "Keyhouse", et apprendre que le meurtre de leur père est directement liée à cette raison.
Récit d'initiation, histoire d'horreur, drame psychologique, Bildungsroman : Locke & Key est tout ça à la fois, et je n'en dirai pas plus.
Un pitch rapide quand même, pour ceux qui n'aiment pas cliquer : suite à l'assassinat de leur père par des rôdeurs, les trois enfants Locke quittent la Californie pour venir habiter, avec leur mère et leur oncle, dans la vieille demeure familiale : un manoir vieux de plusieurs siècles, "Keyhouse", situé sur une petite île du Massachussets appelée Lovecraft.
Les 6 tomes de la série se déroulent tout au long de l'année scolaire : cela commence, comme avec Harry Potter, avec les derniers jours de vacances, pour se finir après le bal de fin d'année. Pendant cette année, les enfants Locke vont découvrir pourquoi la maison s'appelle "Keyhouse", et apprendre que le meurtre de leur père est directement liée à cette raison.
Récit d'initiation, histoire d'horreur, drame psychologique, Bildungsroman : Locke & Key est tout ça à la fois, et je n'en dirai pas plus.
Concernant ce dernier tome, la seule question à laquelle je répondrai, est : "Est-ce que la série reste du même niveau jusqu'au bout ?" La réponse est oui, sans hésitation. On reste fascinés par les personnages, l'intrigue, le suspense, et l'imagination des auteurs de la première à la dernière page. Comme pour toutes les séries, la fin provoquera des débats, et certains lui reprocheront ce que d'autres justement apprécieront. Personnellement, je retournerai sans aucun doute régulièrement à Lovecraft, MA, comme je reviens de temps à autre à Watchmen, Maus, Sandman, ou d'autres comics tout aussi fascinants.
C'est la version anglaise je suppose?
RépondreSupprimerImpressionnante fin. Un feu d'artifice.
RépondreSupprimerCa y est, j'ai tout lu Locke & Key. J'avoue avoir eu du mal à accrocher, les poncifs de film d'horreur américain me hérissent, et au début ils sont treize à la douzaine. Mais je reconnais que la dynamique de la série l'emporte, et finalement on trouve plus de finesse dans la conclusion qu'au démarrage. Pour moi c'est une chouette lecture, mais je doute d'y revenir contrairement à un Courtney Crumrin qui a un je ne sais quoi de plus décalé (dans un genre similaire).
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